Maladie de Crohn en rémission : une journée avec moi

Comment j'ai adapté mon hygiène de vie en profitant à fond de chaque journée !

Dans le premier article de cette série, je vous parlais de mon histoire avec la maladie de Crohn. 

Aujourd’hui, j’ai envie de vous partager mon quotidien et de vous expliquer en quoi le changer radicalement m’a permis d’enclencher ma rémission. Ce qui a le plus changé depuis mon diagnostic, c’est mon mode de vie. Il a énormément évolué en quelques années !

En 2018 j’avais le quotidien de bon nombre d’étudiants : je vivais dans un petit appartement à Strasbourg, j’étais en troisième année de Lettres. J’allais à la fac à pieds, je mangeais normalement. Mais si on y regarde de plus près, beaucoup de choses n’allaient pas.

Mon chemin favori pour aller courir en fin de journée !

Habituellement, je fais plutôt de la musculation. Je limite les sports avec impact à cause de ma spondyloarthrite qui accompagne Crohn. Cependant, j’ai récemment découvert le matériel Back on Track, qui limite vraiment les douleurs pendant et après l’entraînement.
Par ailleurs, le fait de retrouver une bonne condition musculaire a largement participé à la diminution de mes douleurs articulaires.

Le soir, je prends une douche assez froide pendant quelques minutes pour stimuler le nerf vague et refouler les toxines vers les organes d’élimination.

Je prends mon repas assez tôt mais toujours environ 1 heure après l’entraînement. Cela laisse le temps au rythme cardiaque de se normaliser et au nerf vague de se réactiver afin de permettre une assimilation optimale des nutriments

Pendant une demie-heure après le repas, je mets une bouillotte chaude sur mon foie pour aider la digestion (le temps de boire une petite infusion !) et je lis environ une demie-heure à une heure avant de dormir. 

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Cette routine est globalement assez peu changeante. Elle regroupe des éléments indispensables à ma rémission : une alimentation qui me convient et qui est équilibrée ; une activité physique adaptée ; une bonne aération de l’esprit et du corps. S’ajoutent à cela des petits exercices que je ne fais pas tous les jours mais plutôt au besoin : stomac vacuum lorsque je sens des tensions dans le nerf phrénique ; earthing dès que j’en ai l’occasion ; …


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